Délinquance, violence envers la population : les Calaisiens ont expliqué à RT France de quoi était fait leur quotidien aux côté des migrants, appelant les autorités à agir contre une situation difficile.
«Il y a beaucoup de délinquance, des voitures abîmées, des jeunes filles agressées», a ainsi déploré un homme, avant de détailler les problèmes que cela engendrait dans la vie pour tous les jours : «Si on a une fille, on ne peut pas la laisser seule le soir.»
«Ils s'en prennent à tout le monde», a de son côté assuré une jeune femme alors qu'une autre a constaté que la cohabitation était désormais compliquée : «ce ne sont plus les mêmes réfugiés qu'au début, [...] ils sont plus violent, même envers la population.»
«Ils se sauvent d'un pays pour faire la guerre et ils viennent la faire ici. L'Etat n'a qu'à se bouger le cul», a finalement conclu véhément un dernier.
Ces témoignages ont été recueillis après les violents affrontements entre migrants le 1er février à Calais qui ont fait 22 blessés dont cinq par balle. «C'est un degré de violence jamais connu», avait alors déploré le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, venu spécialement sur place.
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