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Une nouvelle polémique se prépare. Depuis peu, une société du nom de Xdolls propose à ses clients de profiter sexuellement de poupées en silicone. Le tout est bien sûr tarifé (minimum 89 euros pour une heure) et le lieu, dans le XIVe arrondissement de Paris, tenu secret. Pour longtemps ? Pas certain, étant donné que la porte extérieure de l'établissement, selon Europe 1, contient une poignée avec la mention «X dolls».

Pour l'instant, seuls ceux qui passent une commande avec prise de rendez-vous sur le site internet peuvent connaître l'endroit exact.

Les «sex dolls», de véritables femmes objets

Alors que les maisons closes (avec de vraies femmes prostituées) sont interdites depuis 1946 et la loi Marthe Richard, Xdolls contourne cette loi en prostituant... des poupées.

Xdolls nomme ces dernières, les «sex dolls», «un sextoy de dernière génération [...] reproductions très réalistes de vos partenaires favorites». Au nombre de trois, elles ont d'ailleurs des prénoms réalistes : Lily, Sofia et Kim. Toutes disposent de photos qui peuvent permettre au client de faire son choix.

Interviewé par France 24 le 1er février, l'entrepreneur qui a lancé Xdolls, Joachim Lousquy, âgé de 28 ans, profite d'un flou juridique : «Nous avons deux cabinets d'avocats qui nous suivent. Le cadre légal, c'est que nous louons des jouets, un morceau de métal avec du silicone». D'ailleurs, Joachim Lousquy précise que les «sex dolls» représentent «le futur». «C'est comme dans les années 1980 où les premiers godemichets sont devenus à la mode. Désormais, c'est quelque chose de normal. C'est la même chose pour nous, c'est l'évolution du sextoy pour les hommes», a-t-il confié à France 24.

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