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Entre 200 et 300 personnes ont défilé à Angers (Maine-et-Loire) lors d'une manifestation antifasciste organisée le 22 septembre. Placés en tête du cortège, des individus masqués, cagoulés, tout de noir vêtus ont brisé des vitrines d'établissements, selon des informations notamment rapportées par Ouest-France. Une agence de la banque BNP Paribas a notamment été incendiée.

Des émeutiers ont lancé des projectiles sur des véhicules de forces de l'ordre qui encadraient la mobilisation et six personnes ont été interpellées. La préfecture du Maine-et-Loire a déclaré que ces actions étaient le fait de blacks blocs.

La manifestation était initialement organisée, notamment, contre l'ouverture à Angers de l'Alvarium, un bar identitaire, source de polémique et menacée de fermeture administrative. 

Sur son compte Twitter, la mairie d’Angers a condamné «avec la plus grande fermeté» les violences des casseurs, et affirme vouloir «porter plainte», en invitant «les établissements victimes à faire de même afin que toutes les responsabilités soient établies».

Selon Ouest-France, la mobilisation devait être «festive», les casseurs constituant «une minorité» dans les rangs des manifestants. Le journal décrit un cortège composé de familles et de personnes de tous âges défilant au «son du ska, du rap et de chants antifascistes, [faisant] flotter des drapeaux anarchistes rouge et noir du CNT [Confédération nationale du travail] et de l’Alternative libertaire». Lorsque les heurts ont éclaté, selon le quotidien régional, les manifestants pacifistes se sont éloignés du cortège de trouble-fêtes. 

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