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Après un an de rebondissements et d'enquête pour viols, la cour d'appel de Paris a décidé ce 14 mars de maintenir les deux mises en examen de l'intellectuel suisse Tariq Ramadan. Par cette décision, la cour répondait à une nouvelle demande de l'intellectuel musulman de voir levées ses deux mises en examen sans attendre la fin des investigations. La chambre de l'instruction a confirmé la décision des juges qui avaient considéré l'été dernier cette requête «prématurée».

L'islamologue avait déposé plainte le 22 février contre les trois femmes qui l'ont accusé de viol en France. Selon lui, les relations étaient librement consenties. Il a porté plainte pour «dénonciation calomnieuse» et dénonciation d'une «infraction imaginaire». Les plaignantes pour viol sont Henda Ayari, Mounia Rabbouj et une femme dont le nom n'est pas communiqué, mais qui est surnommée «Christelle» dans les médias.

Tariq Ramadan avait obtenu sa mise en liberté sous conditions le 15 novembre 2018, neuf mois après sa mise en examen et son incarcération pour viol, le 2 février de la même année.

Plusieurs centaines de SMS versés au dossier ont poussé Tariq Ramadan à reconnaître le 22 octobre 2018 des relations sexuelles «consenties» avec ses deux accusatrices après avoir nié toute relation physique durant plusieurs mois. Les messages des plaignantes envoyés à l'intellectuel accréditaient également cette thèse. En effet, les centaines de SMS révélés laissaient entendre que les deux femmes ont continué à entretenir des échanges avec le théologien, dont beaucoup d'ordre sexuel et particulièrement crus, exprimant le désir de le revoir et de renouveler les expériences.

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