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Invité ce 18 novembre sur LCI à commenter la chute continue de la popularité d'Emmanuel Macron dans le contexte de la mobilisation nationale des «gilets jaunes», Nicolas Dupont-Aignan s'est demandé si la politique qui était actuellement menée par l'exécutif répondait à «l’intérêt du pays». Or, selon le président de Debout la France (DLF), la réponse est «profondément» non.

[Emmanuel Macron] obéit à une politique dictée d'ailleurs qui correspond à des intérêts étrangers

A l'appui de son propos, il a épinglé «l'inefficacité économique» du programme présidentiel, l'absence de relocalisation, l'«injustice» et le «désordre». «Cela fait beaucoup pour l'homme qui était censé réconcilier», explique-t-il au sujet d'Emmanuel Macron.

En cause, selon le député de l'Essonne : le chef de l'Etat «obéit à une politique dictée d'ailleurs qui correspond à des intérêts étrangers».

«C'est un peu vous savez, sous la Révolution française, ce que l'on appelait, je mets des guillemets, parce que je sais ce qu'on va dire : c’est le "parti de l’étranger" qui gouverne, au sens révolutionnaire du terme», analyse l'ancien candidat à la présidentielle. Pour lui, ce «parti» recouvre des «intérêts oligarchiques d'une élite française soumise à l'étranger».

En 1978 déjà, Jacques Chirac avait lancé l'«appel de Cochin» dans lequel il dénonçait le «parti de l'étranger» qu'il voyait dans l'UDF de Valéry Giscard d'Estaing, accusé d'agir au nom de l'Europe et contre les intérêts de la France, en préparant son «inféodation» et en consentant «à l'idée de son abaissement». 

C'est ce parti qui l'a fait [Emmanuel Macron] : les oligarques du régime, certaines grandes entreprises qui délocalisent à tour de bras, Bruxelles qui n'est élu par personne, Madame Merkel qui est en perte de vitesse avec des phénomènes migratoires sans précédent

Appelé à préciser ses «propos très graves», selon les termes employés par ses interviewers, Nicolas Dupont-Aignan a précisé : «C'est le parti de ceux qui ont des intérêts très puissants. D'ailleurs c'est ce parti qui l'a fait [Emmanuel Macron] : les oligarques du régime, certaines grandes entreprises qui délocalisent à tour de bras, Bruxelles qui n'est élu par personne, madame Merkel qui est en perte de vitesse avec des phénomènes migratoires sans précédent.»

«Quand vous ajoutez migration impressionnante, désordre sécuritaire, injustice sociale et inefficacité économique, ça fait beaucoup», avance enfin l'ancien maire de Yerres, qui justifie pouvoir se permettre «d'être très grave en disant cela» car il propose «une politique alternative sérieuse».

Lire aussi : Une «colonisation économique, politique et religieuse» menace la France selon Dupont-Aignan





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