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«J'aimerais redire un mot de solidarité à l'égard de la Grande-Bretagne qui a subi une attaque sur son sol, redire ici que nous condamnons cette ingérence russe et ce qui s'est passé puisque tout porte à croire que c'est la Russie qui a conduit cette tentative d'assassinat», a déclaré Emmanuel Macron dès le début de sa conférence de presse commune avec la chancelière allemande Angela Merkel ce 16 mars à Paris, en référence à la crise diplomatie qui a éclaté entre Londres et Paris dans le cadre de l'affaire Skripal.

Angela Merkel avait fait savoir, peu de temps avant le début de la conférence de presse, qu'elle discuterait avec Emmanuel Macron d'une «réponse appropriée» à ce qu'elle a qualifié de «situation très complexe».

Alors que le Royaume-Uni n'a toujours rendu public aucun élément concret incriminant la Russie, Paris a d'ores et déjà choisi de se rallier à la position de Londres, qui tient la Russie pour «coupable» de l'empoisonnement de l'ex-agent russe Sergueï Skripal. Boris Johnson, ministre britannique des Affaires étrangères, avait été jusqu'à incriminer directement Vladimir Poutine. Une déclaration vivement condamnée par Moscou.

Le 15 mars, Emmanuel Macron, qui inaugurait le Salon du livre à Paris, avait déjà annoncé qu'il ne se rendrait pas au pavillon russe comme initialement prévu. Si Paris, Londres, Berlin et Washington ont publié un communiqué commun rappelant leur «unité» face à la Russie et qu'Emmanuel Macron a promis de répondre «avec fermeté», aucune mesure concrète n'a encore été annoncée par le chef de l'Etat.

Lire aussi : Johnson va jusqu'à accuser Poutine d'être derrière la décision d'empoisonner l'ancien espion Skripal





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